neko rebelle en cage [PV: Alexandra Keith]

Quand il se réveilla la tête plaquée contre les barreaux glacés de sa cage, Kei n'espérait qu'une chose, c'était qu'une maîtresse vienne pour lui. Il avait bien essayé de s'enfuir à plusieurs reprise mais sans succès depuis il maudit le jour de sa capture. Il ne s'en rappelle pas vraiment étant donné qu'il a été frappé dans le dos.
Mais il ne se faisait pas trop d'illusion car il n'avait pas vu beaucoup de monde rentrer dans l'animalerie pour venir chercher un neko.
Il ne pensait qu'à une chose en ce moment, sortir par un moyen ou un autre de cette cage dans laquelle il n'était même pas installé confortablement lui qui aimait tellement sa liberté, il se retourna en cherchant une autre position plus agréable pour dormir, il pensa au passé, à la liberté, puis doucement ferma les paupières et s'endormit...

[i]L’Allemagne me manque. J’aimais tellement ça! Malgré l’incident, j’Adorais m’entraîner, recevoir des ordres. J’avais l’impression de pouvoir servir à quelque chose. Ici, il n’y a rien excepté cette fichu école. C’était plutôt une île avec tout-ce-qu’on-désirait. Ben entendu, ‘’on’’ exclu la personne qui parle. Le manque d’ordre m’a donné, cependant, une drôle d’envie. Celle de se faire respecter, d’être supérieur. La seule espèce qui m’obéirait, ce sont ces bêtes se prétendant avoir les mêmes droits que les humains, les nékos.
[/i]
[i]Pour avoir l’une de ces bêtes, je devais aller au refuge. Je n’étais pas la seule à entrer. Seulement, moi, je ne cherchais pas un ami ou le plus beau, j’en cherchais un coriace, un qui pourra me donner un défi a relevé. Ce n’est jamais amusant lorsque ton soldat est soumis. C’est toujours mieux de lui apprendre quelque chose en lui montrant la douleur vive, la vraie. Ayant questionnée le propriétaire, il me pointa un néko male, ayant plutôt l’air sage.[/i]

- [color:7645=green]J’ai dit que je le voulais solide, pas faible. Vous être sourd? Ça, dis-je en pointant le néko aux poils bruns, ça a l’allure d’un faiblard, pas d’un costaud![/color]

[i]Je jetai mon regard dans celui du néko. Mon regard d’allemande, un regard sévère qui pourrait extirper n’importe quel secret a une personne qui s’en fait piéger. Si celui-ci arrivait à y résister, peut-être allais-je reconsidérer de le prendre.[/i]

Kei qui commençait tout juste à se reposer qu'il fut réveillé par une personne qui semblait parler au vendeur, une femme avec des yeux verts.
Elle cherchait un neko alors le vendeur pointa Kei du doigt mais la femme répondit qu'elle ne voulait pas d'un faiblard et qu'il n'avait pas l'air d'un costaud.
Ensuite elle regarda intensément Kei dans les yeux d'un air sévère comme si elle le défiait.

Kei réveillé par cette personne s'en trouva d'autant plus offenser quand elle se mit a le traiter de faiblard, mot qu'il ne supportait pas.
Kei avait l'impression qu'elle pouvait lire en lui, mais malgrès qu'il se sentait mal à l'aise, il réussit à se forcer à lui répondre de façon agressive:

[color:68ee=orange]-Moi ? Un faiblard ? Fais moi sortir et tu me supplieras de disparaitre ![/color]

Il ne supportait pas d'être agressé et encore moins par une humaine, il continuait donc à lui renvoyé ce même regard la défiant, c'était une manière de la tester, mais dans le regard de cette femme il y'avait quelque chose qui le poussait à se méfier.
Mais toutefois il se dit que sortir d'ici ne pourrait pas être pire et dan le cas contraire il pourrait toujours fuir et recouvrer la liberté.

[i]Il était résistant. Il tenait mon regard, mais je lisais un brin de faiblesse dans ce regard. Ce néko commençait à m’intéresser. Non pas qu’il avait quelque chose de plus que les autres, mais il représentait assez bien le genre de défi que j’aimerais relever. J’adorais cette mine fâcher sur son portrait en plus, c’était si hilarant de voir un animal vouloir défendre son territoire.[/i]

- [color:b8e5=orange]Moi ? Un faiblard ? Fais moi sortir et tu me supplieras de disparaitre ![/color]

[i]Je m’étais habitué que mes supérieurs, mon père y compris, tiennent mon regard. Seulement, un inférieur ne doit aucunement le tenir, ça ne ferait que mettre de l’huile sur le feu. D’un seul coup, vif soit-il, j’agrippai sa cage de façons, brute, la secouant par la même occasion et, avec un sourire malin, j’approchai mon visage du sien.
[/i]
- [color:b8e5=green]Tu veux parier la dessus?[/color]

[i]Alors que le propriétaire me tendait la clé, je ne tardai pas à lui prendre des mains et a ouvrir violemment la cage. D’un geste vif, je m’empara du collet de cette créature et le tira vers moi, le projetant près du mur derrière moi. Je me retourna et affronta son regard, le laissant se mettre les idées en place.[/i]

-[color:b8e5=green] Allez, montre-moi ce que tu sais faire, dis-je en croisant les bras.[/color]

Kei se fit projeter contre un mur, ça il ne s'y attendait pas. Pendant qu'il se remettait doucement, elle osa même lui demander de montrer ce qu'il savait faire.
Kei avait deux solutions, soit se soumettre à elle, soit tenter de lui prouver que les nekos valent autant que les humains, voir plus. Il regarda la porte mais ne pu résister au regard provocateur de cette femme, sans vraiment réfléchir il fonça vers elle en se préparant à lui sauter dessus.

Kei était en colère, il couru vers elle en hurlant mais au moment de sauter il sentit une vive douleur dans le mollet droit et trébucha inévitablement, sans doute du au fait qu'il soit rester trop longtemps en cage, il tomba juste devant elle.
Kei jeta un regard froid et accusateur au vendeur assimilant la cause de sa chute directement à l'inconfort des cages.

Kei cria alors à la femme:
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-Avec plus de confort tu serais par terre..[/color]

[i]Plus je le regardais, plus il semblait bestial, animal. En regardant sa course, maladroite soit-elle, je savais qu’il n’irait pas bien loin. Il avait besoin d’entraînement. Je crois que je vais réfléchir à lui en donner. Le plus drôle dans la situation, c’était de voir le néko a mes pieds. C’était si…représentatif, oui! Représentatif de leur statut a celui des humains. Quelle belle scène![/i]

- [color:2937=orange]Avec plus de confort tu serais par terre..[/color]

[i]Je ne pus m’empêcher de rire bien fort. Il se croyait plus fort que moi alors qu’il n’était qu’un vulgaire animal dans un refuge.[/i]

- [color:2937=green]C’est ça. Et moi, avec plus de confort, j’aurais put tuer Hitler! Quelle blague! Tu sais au moins a qui tu parles, néko? Je ne sort pas de n’importe où! Ce que tu vis ici, c’est un paradis comparé aux camps Allemands. Ne te méprend pas sur ma nature![/color]

[i]Encore là, je jetais sur lui un regard de mépris, qui se moquait a la fois de lui et qui lui imposait une honte. Je fis signe au propriétaire.
[/i]
- [color:2937=green]Vous savez quoi? Emballez-le moi dans un paquet, je le prend avec moi.[/color]

[i]Il n’y avait que moi qui aurais put penser à une blague aussi rabaissante. Humiliante aussi. Soudain, le propriétaire me questionna au sujet de la marque. Je devais laisser ma marque sur le néko avec mon propre sang, la marque de propriété et d’obéissance.[/i]

- [color:2937=green]Umm, avant tout, je vais lui laisser le choix.
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[i]Je me tournis vers lui, mon regard sévère poser contre le sien.[/i]

- [color:2937=green]Tu as deux choix : Soit tu pourris ici pour une prochaine occasion qui pourrais, par chance, être pire que moi ou, tu me suis et je fais de toi mon animal. Bien entendu, je vais sûrement t’imposer un entraînement qui fera de toi quelqu’un de plus redoutable que tu ne l’ai présentement![/color]

Quand Kei entendit qu'elle voulait le prendre avec elle, il ne pu répondre, il avait trop honte.
Il préféra resta sans voix mais il écoutait la conversation, la jeune femme et le vendeur parlait d'une marque de propriété et d'obéissance.
Kei fut d'abord choqué d'entendre ça, il n'en avait jamais entendu parler, est-ce efficace ou seulement symbolique ?
La jeune femme voulait lui laisser le choix, enfin si on peut appeler cela un choix.

[color:b3ce=green]- Tu as deux choix : Soit tu pourris ici pour une prochaine occasion qui pourrais, par chance, être pire que moi ou, tu me suis et je fais de toi mon animal. Bien entendu, je vais sûrement t’imposer un entraînement qui fera de toi quelqu’un de plus redoutable que tu ne l’ai présentement![/color]

Il fallait l'admettre elle n'avait pas tord, il avait encore moins envie d'être acheté par un maître louche de plus elle pourrait peut-être le changer de façon positive.
Le regard de cette femme semblait l'hypnotiser et il hocha doucement de la tête. A la fois apeuré, frustré et énervé il répondit :

[color:b3ce=orange]Très bien je te suis.[/color]

Il y avait de la conviction dans sa voix et bien qu'il venait de se faire humilier, il éprouvait un certain respect envers elle. Après tout avoir une maîtresse au tempérament fort était une bonne chose, il se sentirait plus en sécurité.

Mais se soumettre à elle aussi facilement, ça il avait du mal à l'accepter, lui qui voyait les humains comme des faibles, mais la situation qu'il venait de vivre venait de lui prouver le contraire, il décida donc d'attendre et de voir et il se raccrocha à l'idée que s'il changeait d'avis il pourrait toujours fuir.

[i]Il commençait à être raisonnable, il acceptait mon offre. Malgré qu’il fût un néko, j’avais quand même l’impression que ça me plairait qu’il soit mon néko. Je devais me secouer les idées sinon, je commencerais à devenir quelque peu gentille avec cette race basse![/i]

- [color:39f9=orange]Très bien je te suis.[/color]

[i]Je lui offris un sourire. Pas un simple sourire gentil pour qu’il m’apprécie. Non, un sourire de victoire. Je n’avais pas peur qu’il fuit, je le rattraperais assez facilement et lui imposerait une douloureuse punition et il serait content, après, de s’en être sorti vivant. Je pense que je devrais peut être joindre mon père tout a l’heure pour des conseils de soumission. Comme toujours, il me donnerait d’excellents conseils. Une chance que ma mère m’a permis d’habiter ailleurs. A condition que je la visite. Sinon, j’aurais eut droit à un sermon qui m’aurait exaspéré à sa première minute.[/i]

[i]J’amenais maintenant mon néko sur un banc dans le refuge. J’allais lui imposer la marque. D’un geste naturel, je sortis un couteau de ma poche. C’était un outil indispensable dans certains cas. Je piquai mon index et le sang ne tarda pas. A l’aide de mon ongle, je pourrais écrire.[/i]

- [color:39f9=green]Je ne vais pas t’imposer une marque humiliante. Elle sera plutôt représentative. Je la poserais sur le haut de ton épaule gauche, comme un soldat. Ne bouge pas.[/color]

[i]Je remontais la manche de ton épaule gauche. Avec mon ongle en guise de plume, le signa. Une belle écriture, quoique en sang, italique ou l’ont pouvait lire : Alexandra Keith. Ce n’était ni trop gros, ni trop petit. Juste assez pour qu’elle fasse le dessus de son épaule. Immédiatement, le sang s’incrusta dans la peau pour ne plus s’effacer sauf a ma mort.[/i]

- [color:39f9=green]Voila, il faudrait maintenant qu’ont aille ailleurs, pour mieux se connaître. Aussi pour que je sache quel genre d’entraînement je vais t’imposer.[/color]

Kei était maintenant marqué de cette fameuse marque, qui était maintenant incrustée sur son épaule. Il y-avait le nom de sa maîtresse écrit dessus, au moins il s'en rappellera se dit-il. Mais la seule chose à laquelle il pensa sur le moment c'était de tester cette marque en désobéissant.
Il craignait tout de même les conséquences que cela pourrait entrainer.
Mais ça il aurait tout le temps d'y réfléchir plus tard.

Elle proposa d'aller ailleurs pour faire connaissance et pour parler de l'entrainement qu'il allait subir. De quel genre d'entrainement parlait-elle ? Comme si il en avait besoin pensa t-il, son humiliation n'était due qu'à son état de fatigue important ce qu'il lui fallait c'était du repos.

Une chose était sûre, il voulait partir de ce refuge au plus vite, il regarda la porte et les rayons du soleil qui la traversait et s'imaginait courir vers la sortie et se mêler à la foule pour enfin disparaitre. C'était stupide, surtout dans son état, de plus il y-avait cette marque, il abandonna cette idée rapidement, pour l'instant il fallait se résoudre à se soumettre aussi douloureux que sa puisse être pour lui qui se voyait libre en train de voler l'argent de ces saletés d'humains.
Il se résigna alors et déclara sur un air hautain:

[color:fc4e=orange]-hé bien allons-y .[/color]

Kei avait toujours ce ton légèrement provocateur même si, il faut bien l'admettre, ça ne lui apportait que des ennuis.
Il refusait de penser à la honte subit et faisait comme si rien de c'était passé mais mal grès tout il attendait Alexandra pour la suivre .

[center]Suite ici

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